La réforme fiscale de Donald Trump est en passe d’être votée au Congrès. C’est une question de jours maintenant et le président des Etats-Unis se réjouit déjà de donner « au peuple américain, une baisse géante d’impôts pour Noël ». Pour rappel, l’impôt des sociétés devrait passer de 35% à 21% (et non pas 20%). Cette différence d’1% (100 milliards de dollars de recettes fiscales) devrait servir à financer certaines dépenses chères au cœur de certains Républicains plus centristes. Par ailleurs, le taux marginal de l’impôt des personnes physiques devrait passer de 39.6% à 37%.
Lire la suiteDifficile de passer à côté de la folie des Bitcoins en ce moment. Mais même les plus mordus par cette monnaie virtuelle ne se rendent pas compte qu’elle est gourmande en électricité. D’après Digiconomist, un site spécialisé dans les crypto-monnaies, la production de Bitcoins nécessiterait autant d’électricité que le Nigeria en un an.
Lire la suiteLes actions bancaires ont à nouveau la cote auprès des investisseurs. La raison de ce soudain regain d’intérêt ? Bâle III. Derrière le nom de cette ville suisse, se cachent en réalité les nouvelles règles prudentielles qui ont été signées sur place et qui doivent s’imposer au secteur dans son ensemble.
Lire la suiteA la veille de l’année 2018, les pronostics vont déjà bon train. C’est le cas, par exemple, d’Isabelle Mateos y Lago, directrice générale au BlackRock Investment Institute. Parmi les éléments qu’elle juge intéressants pour justifier l’optimisme boursier actuel, il y a notamment : la croissance synchrone au niveau mondial, la confiance des ménages et des entreprises, à des niveaux très élevés, et la politique très accommodante des banques centrales.
Lire la suiteAlors que l’accord entre l’Union européenne et Londres a buté au dernier moment sur le dossier irlandais, les experts reconnaissent aujourd’hui que le Royaume-Uni est en perte de vitesse auprès des investisseurs internationaux. Les raisons de ce pessimisme ? La livre sterling s’est dépréciée, l’inflation est au plus haut depuis 4 ans, et la croissance est au point mort, quant au taux d’épargne des britanniques, il est au plus bas depuis…1953, c’est dire la fragilité des ménages.
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