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Bonjour. La dette des entreprises en Chine est l’une des grandes vulnérabilités de la deuxième économie mondiale. L’endettement des entreprises chinoises est estimé à … 166% du PIB de 2016 (derniers chiffres disponibles).
Le gouvernement a tenté de stopper cet endettement en freinant la frénésie d’investissements à l’étranger des grands groupes privés chinois. Mais ce frein n’est hélas pas suffisant. Motif ? Le vrai problème se situe du côté des entreprises publiques accrocs au crédit facile octroyé par les banques d’Etat.
Je me le demande. Pas vous ? Pourquoi devrions écrire un nouvel article sur ce blog ?
Lire la suiteCeci est un test
Lire la suiteLa dette des entreprises en Chine est l’une des grandes vulnérabilités de la deuxième économie mondiale. L’endettement des entreprises chinoises est estimé à … 166% du PIB de 2016 (derniers chiffres disponibles). Le gouvernement a tenté de stopper cet endettement en freinant la frénésie d’investissements à l’étranger des grands groupes privés chinois. Mais ce frein n’est hélas pas suffisant. Motif ? Le vrai problème se situe du côté des entreprises publiques accrocs au crédit facile octroyé par les banques d’Etat.
Lire la suiteLa banque centrale européenne (BCE) n’est pas nécessairement heureuse d’une devise aussi forte. L’euro a en effet progressé de 14% face au dollar en 2017 et de plus de 2% depuis le début de cette année. Or, une devise forte implique une baisse du prix des produits importés et donc une pression négative sur l’inflation. Inutile de préciser qu’une hausse prolongée de l’euro pourrait contraindre la BCE à retarder la fin programmée des rachats de dettes publiques et privées (le fameux quantitative easing ou QE).
Lire la suiteC’est l’heure du bilan après un an de présidence de Donald Trump. Et force est de reconnaître que si sa politique intérieure et extérieure suscite le débat, sa politique économique est en revanche pleinement adoubée par Wall Street. En effet, à part une baisse enregistrée lors de l’annonce de son élection, les indices boursiers américains sont repartis à la hausse – et sans discontinuer – depuis son investiture à la Maison Blanche. Malgré ses coups de gueule par Tweets interposés, Donald Trump n’a pas fait dérailler l’économie américaine.
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